FUCK JOHNNY...

1 HEURE pour rentrer chez moi hier soir. A qui la faute d'après vous ? D'abord, celle de Johnny qui a décidé de venir faire chier aussi à Nantes pour sa soi-disant dernière tournée. Putain, pourvu que ça soit bien la dernière. Mais avec le bol qu'on a, il va remettre ça dans 2 ans quand il se sera farci sa dinde blonde trop longtemps. Ensuite, celle de tous ces blaireaux de la région Pays de la Loire (et du reste de la France à en juger les plaques d'immatriculation) fans de Johnny et dieu sait si entre la Vendée, la Mayenne et la Sarthe, cette région en est riche... Enfin, la mienne pour avoir pris un autre chemin quand j'ai vu que la rocade était bouchée sans savoir pourquoi. Autre chemin qui passe bien entendu par La Beaujoire, lieu dudit concert. 1 HEURE à écouter Nostalgie dans ma Ferrari surchauffée et à balancer des bordées d'injures à tous ces ploucs en marcel noir avec écrit dessus "Johnny for ever". C'est vrai que c'est la seule rock star à la française (et quand on a dit "à la française", on a tout dit sur le côté rock star et son sex "à pile") mais je savais pas qu'elle valait à ce point le détours. En plus, même les "gens normaux" qui y vont semblent s'en excuser. Par ex, la nana de l'agence immobilière qui nous fait visiter des maisons qui ne pouvait pas hier soir parce qu'elle allait voir Jojo mais "juste par curiosité". Elle pourrait au moins avoir la décence d'assumer ses goûts. Comme si moi je cachais la radio que j'écoute ou mon "amour" pour Jean-Luc Lahaye et autres branques de la chanson françaises pour ne pas que Rocky se foute de ma gueule (elle ne s'en est jamais privé d'ailleurs même si moi, j'ai jamais écouté les L5 !!!). Et le pire, c'est que ça recommence ce soir. 2 soirs à la Beaujoire, c'est clair que des blaireaux, y en a. Surtout dans les stades de foot, me direz-vous. Surtout quand ce stade de foot ne sert plus qu'à ça, vu que personne ne va plus voir le FCNA. Bref, Johnny, que je t'aime pas, que je t'aime pas... Tu ferais mieux d'allumer le feu et de t'immoler avec. A que c'est tout.